mercredi 19 septembre 2012

les OGM sont des poisons , voir le nouvel obs ...


Par Guillaume Malaurie

EXCLUSIF. Oui, les OGM sont des poisons !

Des chercheurs français ont étudié secrètement, pendant deux ans, 200 rats nourris au maïs transgénique. Tumeurs, pathologies lourdes... une hécatombe. Et une bombe pour l'industrie OGM.(Cet article paraît dans le "Nouvel Observateur" daté du 20 septembre 2012) 

photo : Le Nouvel Observateur
C'est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology" - une référence en matière de toxicologie alimentaire - en publiant les résultats de l'expérimentation menée par l'équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen. Une bombe à fragmentation : scientifique, sanitaire, politique et industrielle. Elle pulvérise en effet une vérité officielle : l'innocuité du maïs génétiquement modifié.
Lourdement toxique et souvent mortelMême à faible dose, l'OGM étudié se révèle lourdement toxique et souvent mortel pour des rats. A tel point que, s'il s'agissait d'un médicament, il devrait être suspendu séance tenante dans l'attente de nouvelles investigations. Car c'est ce même OGM que l'on retrouve dans nos assiettes, à travers la viande, les oeufs ou le lait. 
En 2006, c'est comme un véritable thriller que commence cette recherche, dont le maître d'oeuvre, Gilles-Eric Séralini, divulgue lui-même les conclusions dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine ("Tous cobayes !", Flammarion, en librairie le 26 septembre).
Nom de code In VivoJusqu'en 2011, les chercheurs ont travaillé dans des conditions de quasi-clandestinité. Ils ont crypté leurs courriels comme au Pentagone, se sont interdit toute discussion téléphonique et ont même lancé une étude leurre tant ils craignaient un coup de Jarnac des multinationales de la semence.
Le récit de l'opération - nom de code In Vivo - évoque la très difficile récupération de semences de maïs OGM NK 603,... lire la suite de l'article sur Le Nouvel Observateur




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