Une fois n’est pas coutume, ces dernières viennent, à nouveau, d’obtenir gain de cause. Le 30 septembre dernier, la Cour d’appel de Nîmes a effectivement reconnu la Socatri coupable de la pollution des eaux, cette peine venant s’ajouter à la condamnation rendue en 2010. La filiale d’Areva se voit ainsi condamnée à verser plus d'un demi-million d'euros, dont 300 000 euros d'amende et 230 000 euros de dommages et intérêts. Ces derniers iront à hauteur de 160 000 euros aux associations portées partie civile dans l’affaire, dont les Amis de la Terre, et pour 70 000 euros aux particuliers.
jeudi 6 octobre 2011
Fuite d’uranium : une filiale d’Areva à nouveau condamnée
En octobre 2010, l’usine Socatri (1), filiale d’Areva, était condamnée pour retard de déclaration d’incident, suite au déversement de 75 kg d’uranium dans des cours d’eau environnants, survenu en 2008. Bien que satisfaites de cette décision de justice, les associations environnementales firent, néanmoins, appel afin que soit prise en compte le délit de pollution des eaux.
Une fois n’est pas coutume, ces dernières viennent, à nouveau, d’obtenir gain de cause. Le 30 septembre dernier, la Cour d’appel de Nîmes a effectivement reconnu la Socatri coupable de la pollution des eaux, cette peine venant s’ajouter à la condamnation rendue en 2010. La filiale d’Areva se voit ainsi condamnée à verser plus d'un demi-million d'euros, dont 300 000 euros d'amende et 230 000 euros de dommages et intérêts. Ces derniers iront à hauteur de 160 000 euros aux associations portées partie civile dans l’affaire, dont les Amis de la Terre, et pour 70 000 euros aux particuliers.
Une fois n’est pas coutume, ces dernières viennent, à nouveau, d’obtenir gain de cause. Le 30 septembre dernier, la Cour d’appel de Nîmes a effectivement reconnu la Socatri coupable de la pollution des eaux, cette peine venant s’ajouter à la condamnation rendue en 2010. La filiale d’Areva se voit ainsi condamnée à verser plus d'un demi-million d'euros, dont 300 000 euros d'amende et 230 000 euros de dommages et intérêts. Ces derniers iront à hauteur de 160 000 euros aux associations portées partie civile dans l’affaire, dont les Amis de la Terre, et pour 70 000 euros aux particuliers.
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