Venez nous rencontrer pour mettre un peu plus de nature dans votre environnement...

EUROPE ECOLOGIE DES CANTONS DE LA COTE BLEUE ET MARIGNANE

Le Rove, Ensuès la Redonne, Gignac la Nerthe, Carry le Rouet, Sausset les pins, Châteauneuf les Martigues , Marignane, St Victoret

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eeccotebleuemarignane@gmail.com

tél : 04 42 76 25 40


mercredi 29 juin 2011

Congrés AGORA à Aubagne les 5, 6 et 7 juillet 2011

Chers amis,

Je vous transmets en pièce jointe le programme définitif des Assises du GFEN "Pour une autre éducation". Nous aurons peut-être le plaisir de nous retrouver là-bas à l'occasion de tel ou tel débat, atelier, conférence. A noter que EELV sera représenté par Françoise Alamartine, Secrétaire Nationale Adjointe, lors de la plénière politique du mardi 5.
 La manifestation se passe à Aubagne, au centre des congrès AGORA les mardi 5 (journée), mercredi 6 (journée) et jeudi 7 (matin) juillet. Pour participer en journée, il suffit de s'inscrire le site www.gfen.asso.fr. Si le prix d'inscription est un obstacle à votre participation, le faire savoir à l'accueil. J'attire tout particulièrement votre attention sur les conférences et débats :
 Mardi 5 juillet de 18h à 19h45 : Quelles orientations pour une autre éducation ? Débat avec ATD Quart Monde et des partis politiques de gauche.
 Mercredi 6 juillet de18h00 à 19h30 : Quels leviers pour transformer ? Débat avec la FCPE , les syndicats d'enseignants SE-UNSA, SNES, SNUIPP…
Ces débats du mardi et mercredi en fin d'après-midi sont ouverts à tous publics sans inscription préalable N'hésitez pas à diffuser le programme dans vos réseaux !
 Merci d'avance !
Cordialement Denis Grandjean

Toutes les informations sont disponibles sur http://www.gfen.asso.fr/

Résultats du premier tour de la Primaire de l'écologie, avantage Eva Joly...

 A l'issue du dépouillement, voici les résultats du premier tour de la Primaire de l'écologie.

Eva Joly 12571 votes, soit             49,75 %
Nicolas Hulot 10163 votes, soit    40,22 %
Henri Stoll 1269 votes, soit             5,02 %
Stéphane Lhomme 1172 votes, soit  4,44 %
bulletins blancs 94 votes, soit          0,37 %

au total 25269 votes ont été exprimés, soit 77,33 % de participation.

Le 2ème tour de la Primaire de l'écologie entre Eva Joly et Nicolas Hulot débutera à l'issue du débat du second tour, qui aura lieu demain 30 juin 2011 à Grenoble à 19h et sera retransmis en direct en vidéo sur primairedelecologie.fr et sur LCP.

Rappel important : vous ne recevrez pas de matériel de second tour, votre code pour voter en ligne est le même que pour le premier tour, et vous avez reçu l'enveloppe pour le vote papier avec le matériel du premier tour.

mardi 28 juin 2011

salaire maximum, c'est pour quand?

salaire maximum, qui est pour?
CLIQUEZ  sur le lien ci-dessus  :-)

Fukushima 3 réacteurs étaient en fusion depuis les 1ers jours.......

Samedi 11 juin, nous commémorions les trois mois de l’accident de Fukushima. Nous venions d’apprendre que trois réacteurs étaient en fusion depuis les premiers jours qui ont suivi le tsunami. Ce fait honteusement caché à la population japonaise et au monde entier pendant plusieurs mois est une preuve supplémentaire de la gestion catastrophique de cette crise par Tepco et le gouvernement japonais.

Hasard des dates, les 11 et 12 juin étaient organisés en Italie trois référendums, dont un portait sur la relance du programme électro-nucléaire. En 1987, à la suite de Tchernobyl, l’Italie avait décidé par référendum d’abandonner l’énergie nucléaire, jugée trop dangereuse. Berlusconi, depuis plusieurs années, avait fait de la relance du nucléaire une de ses propositions emblématiques. Les opposants au projet, notamment les associations de lutte contre le nucléaire, avaient obtenu qu’un référendum soit organisé sur la question. Et la réponse a été sans appel : plus de 90 % des votants ont refusé. Le coup d’arrêt porté à la filière est une immense victoire pour le peuple italien. Il arrive dans un contexte incertain où l’industrie nucléaire tente de rebondir mais se confronte, après l’accident de Fukushima, à une méfiance grandissante. Plusieurs éléments encourageants doivent nous redonner espoir : annonce d’arrêt du nucléaire en Suisse, en Allemagne, victoire lors du référendum en Italie. Mais l’industrie nucléaire ne s’avoue pas vaincue, les projets en Inde, dans la province du Jaitapur, et la relance d’un cycle de construction de centrales en France en sont la preuve.


Ce même 11 juin, trois mois après Fukushima, des manifestations de protestation contre l’usage de l’énergie nucléaire étaient organisées dans plusieurs pays, notamment au Japon et en France.

Côté français, des défilés à Paris, Marseille, Toulouse, Bordeaux… ont regroupé quelques milliers de manifestants (environ 5 000 à Paris) autour de mots d’ordre réclamant la sortie du nucléaire. Mais dans la lutte antinucléaire, le cas français est très particulier. Il est la pointe avancée du nucléaire à l’échelle mondiale. L’appareil d’État et la filière industrielle électro-nucléaire sont intimement liés, et ce depuis des décennies, quelle que soit la majorité politique au pouvoir. Les moyens de l’État français sont d’ailleurs régulièrement mis à disposition de l’industrie nucléaire pour assurer sa promotion et son développement.

Pour ces raisons, combattre le nucléaire, en France, revêt un caractère très particulier. Remporter cette lutte nécessite la construction d’un rapport de forces d’une grande intensité. Si les élections de 2012 peuvent être un point d’appui et de cristallisation pour le débat antinucléaire, nous devons être conscients que, quels que soient les résultats de ces élections, une sortie rapide du nucléaire (en dix ans par exemple) devra être imposée par la construction de mobilisations puissantes.

Sur ce plan, bien qu’elles n’aient pas constitué une déferlante massive, les manifestations du 11 juin, la (re)mobilisations des militantEs antinucléaires depuis le 11 mars sont des premières étapes pour élargir la contestation de la société nucléaire. Cela fait partie du débat que nous devons désormais avoir avec tout le mouvement antinucléaire.

Damien Joliton

les exilés fiscaux, liste non exhaustive....

pour connaître les bons citoyens , cliquez sur le lien ci-dessus

lundi 27 juin 2011

premier repas sans viande au restaurant scolaire

démarche à suivre , cliquez sur le lien ci-dessus

l'oryx en bonne voie de réintroduction

L’Oryx d’Arabie n’a pas dit son dernier mot

Si la récente mise à jour de la Liste rouge de l’UICN (1) est loin d’être porteuse de bonnes nouvelles, avec notamment 797 espèces éteintes, 3801 en danger critique d’extinction et 5566 en danger, on compte au moins une exception. En effet, amené au bord de l’extinction sous la pression de la chasse, l’Oryx d’Arabie (Oryx leucoryx) semble avoir repris du poil de la bête. Connu localement sous le nom d’Al Maha, l’Oryx d’Arabie est une espèce d’antilope qui vit exclusivement dans la Péninsule arabique. Selon les scientifiques, le dernier spécimen sauvage aurait été abattu en 1972. Mais, grâce aux succès de la reproduction en captivité et aux efforts de réintroduction, l’espèce est passée, cette année, de la catégorie des espèces En danger à celles des espèces Vulnérables sur la Liste rouge de l’UICN. Aujourd’hui, sa population sauvage compte un milliers d’individus. Il s’agit d’une première car, jusqu’alors, aucune espèce classée comme Eteinte à l’état sauvage n’avait progressé de trois catégories.

Si le bilan global de la Liste rouge de l’UICN reste négatif, notamment en ce qui concerne les espèces d’amphibiens et de primates, cet exemple prouve que les efforts de conservation ne sont pas vains. Un point de vue partagé par Mme Razan Khalifa Al Mubarak, Directrice générale de l’Agence de l’Environnement d’Abu Dhabi, qui déclare : « Avoir ramené l’oryx des limites de l’extinction est un événement majeur. C’est un véritable succès pour la conservation, une histoire que nous souhaiterions voir se répéter de nombreuses fois pour d’autres espèces menacées ».

Cécile Cassier

1- Union internationale pour la conservation de la nature.

mardi 28 juillet sur arte....libéralisme économique,désastres écologiques

D'après les conclusions du Congrès américain, l'un des principaux responsables du désastre écologique du «Deepwater Horizon» du 20 avril 2010 est la multinationale BP. Les dégâts massifs sur l'écosystème de la région sont dus à des négligences ou au non-respect des règles de sécurité. Greg Palast, chef de file du journalisme d'investigation américain, enquête depuis vingt ans sur les pratiques du géant pétrolier. Ses périples l'ont mené du golfe du Mexique aux nouveaux territoires convoités par BP dans la partie arctique de l'Alaska, puis vers une des régions les plus polluées au monde, celle des champs pétrolifères d'Azerbaïdjan. Son enquête prouve notamment que le groupe a parfois usé de méthodes douteuses afin de s'arroger des contrats juteux.